Il y a ce passage dans LENNY. Il ne dure que quelques secondes.
Dustin est sur la scène face au néant de la salle : bruit, rires, cris, intolérance, amour, haine. Ce néant à toujours raison quand on est à la place de DUSTIN.
La poursuite ne le quitte pas. Il se déplace au gré de son inspiration, une inspiration très contrôlée, mais c’est tellement bien fait qu’on ne le sait pas. Son texte coule de sa bouche comme une rivière de lames de rasoirs et tout le monde se marre, lui (...)