11 février 2007, par Alina Reyes
Quand je vois ce bel objet susceptible de se mettre à gonfler, durcir, se dresser… Comment dire ? Ça me fascine, ça m’énerve, ça me rend idiote, ça m’hébète, ça m’affame, ça me creuse, ça me rend vide, ça me fait envie… Ça me rend minuscule… Humble… Puissante… C’est trop beau, trop bon, trop étrange… Le pénis de l’amant.
Peut-être que j’aurais voulu en avoir un, moi aussi. Est-ce qu’il m’aurait paru aussi incroyablement merveilleux, agaçant ? Si j’en avais un à moi, je crois que je ne (...)