Fils de. Voilà ce que je suis. Fils de. C’est comme ça qu’on me définit. Je me suis habitué. Et puis, de toute façon, j’ai toujours préféré la généalogie à l’étymologie. Je suis celui qu’on appellera toujours « petit », le dernier de la lignée, l’ultime bambin. Je n’existais d’ailleurs même pas en latin. Mon paternel est paradoxalement situé juste après moi dans l’alphabet. Il devrait être avant, non ? Je trouve que ce serait plus (...)