Une illusion optique.
La beauté n’est que théâtralisée.
La maladie décharne le corps qui tombe en lambeaux. Les os saillent en une farandole aigre.
Le ventre gonfle ourlé d’air sans vie, retenu par un coquelicot artificiel.
Le souffle de la faucheuse s’étend à la chair fatiguée lui indiquant son arrêt imminent. Mais je garderai le sourire. jusqu’au bout.
Fuck la mort !
Extrait du huitième roman de Franca Maï : DIVINO SACRUM carnet de bord d’une vieille (...)